Parcourez l'annuaire pour découvrir l'agenda de Molly Johnson, Kellylee Evans ou encore Diana Krall avec les dates de leur tournée française. 100 0 _ ‡a Holly Cole ‡c chanteuse de jazz et pop canadienne 4xx's: Alternate Name Forms (23) 400 0 _ ‡a H. C. ‡d 1963- La percée la plus importante pour la musique latine au Canada arrive en 1982, lorsque la saxophoniste torontoise Jane Bunnett et son conjoint trompettiste Larry Cramer visitent Cuba. All structured data from the file and property namespaces is available under the Creative Commons CC0 License; all unstructured text is available under the Creative Commons Attribution-ShareAlike License; additional terms may … Développé à New York à l’aube des années 1940 et documenté pour la première fois sur des enregistrements commerciaux en 1944, ce style de jazz aux harmonies raffinées, à la rythmique plus libre et d’une virtuosité affirmée apparaît au Canada vers la fin des années 1940, comme en témoignent les enregistrements de Moe Koffman et d’Oscar Peterson. Les musiciens d’origine canadienne qui ont œuvré au sein de la communauté jazz britannique incluent : le saxophoniste Bob Burns, qui travailla au sein de grands orchestres et d’orchestres de studio après les années 1950s; Diz Disley, guitariste pour Stéphane Grappelli pendant les années 1970 et 1980; Art Ellefson; le clarinettiste Wally Fawkes, qui travailla au sein de groupes britanniques « traditionnels » (et qui, comme Diz Disley, fut également un dessinateur de bande dessinée reconnu; il créa la série « Flook » pour le journal londonien Daily Mirror pendant plus de 40 ans); Max Goldberg, le trompettiste soliste le plus demandé des orchestres de danse et de jazz britanniques des années 1930; le trombone Ian McDougall; le compositeur et saxophoniste montréalais John Warren, reconnu pour Tales of the Algonquin (1971), et dont le grand orchestre parcourut l’Europe continentale au cours des années 1970, ainsi que Kenny Wheeler. Les voyages suivants qu’elle entreprend à Cuba ouvrent la voie à bon nombre de musiciens exceptionnels, tout particulièrement pour les pianistes Hilario Duran et David Virelles, et au batteur Dafnis Prieto, qui sont éventuellement connus au Canada puis aux États-Unis. Le jazz ne profite que d’une exposition limitée à la télévision canadienne. Vers la fin des années 1980, plusieurs musiciens incluent des éléments du jazz traditionnel dans le style fusion, ce qui donne naissance au style nommé « post-fusion »; au Canada, le bassiste Sylvain Gagnon, le trompettiste John MacLeod, le batteur Barry Romberg et le quintette Creatures of Habit figurent parmi ses représentants. Des festivals de plus petite envergure se développèrent également dans des régions moins peuplées, y compris à Pender Harbour en Colombie-Britannique, à Guelph en Ontario, à Rimouski au Québec, ainsi que dans la ville de Québec. Jack Litchfield, The Canadian Jazz Discography 1916–1980 (Toronto, 1982). Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, plusieurs musiciens nés aux États-Unis s’affirment au sein des communautés de jazz locales et régionales canadiennes, y compris le bassiste et enseignant Steve Kirby à Winnipeg; le pianiste, chanteur et journaliste Bill King, ainsi que le saxophoniste et enseignant David Mott à Toronto; les saxophonistes Billy Robinson et Vernon Isaacs à Ottawa et le batteur et enseignant Jerry Granelli à Halifax. Au Canada, les journalistes suivants se sont consacrés au jazz : Bob Smith (Vancouver Sun); Renee Doruyter ( The Province, publié à Vancouver); Alex Varty ( Georgia Straight, publié à Vancouver); James Adams et Roger Levesque (The Edmonton Journal); Peter Stevens (Windsor Star); Helen Palmer, Alex Barris, Patrick Scott, Jack Batten, Mark Miller, Stuart Broomer et J.D. Une nouvelle génération de musiciens se fait entendre à Montréal au cours des années 1980, par exemple les groupes Bande à Magoo, Dixieband et Sweet Dixie, dans le cadre des activités extérieures du Festival international de jazz de Montréal (FIJM). Depuis ils ont enregistré pour Polydor Records, et travaillé avec la chanteuse de jazz Victoria Rummler et la chanteuse canadienne Sarah Sleane. La dernière modification de cette page a été faite le 29 novembre 2020 à 23:53. Bien que ces deux artistes évoluent activement dans la sphère de la musique populaire, leur style révèle l’influence indéniable de chanteurs d’inspiration jazz, comme Tony Bennett et Frank Sinatra. She also trained as a ballerina, but a knee injury at age 15 ended her ballet career. Il se caractérise par sa nature improvisée, sa vitalité rythmique (par ex. Au début du XXIe siècle, le jazz occupe une place de plus en plus importante dans le syllabus de plusieurs universités et collèges canadiens et partout ailleurs, mais la transmission orale de cette tradition demeure prépondérante. : Los Cubanos) à Toronto pendant 30 ans, alors que des musiciens jazz forment parfois des groupes à saveur latine (par exemple les groupes jazz comportant une section rythmique élaborée) au cours des années 1960 (par exemple, Émile « Cisco » Normand à Montréal) et des années 1970 (par exemple Guido Basso et le percussionniste Marty Morell à Toronto). Gene Lees, Oscar Peterson: The Will to Swing (Toronto, 1988). En 2000, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) émet une licence à Canwest Media , basé à Winnipeg, pour la mise sur pied de CoolTV, une chaîne de télévision consacrée à la diffusion de vidéos de musique, de spectacles et de films à contenu axé sur le jazz. Les premiers musiciens jazz au Canada sont d’origine américaine et se présentent sur des scènes de music-hall et dans les cabarets vers le milieu et la fin des années 1910. D’autres orchestres voient le jour dans les années 1960, y compris ceux sous la direction du trombone Ray Sikora à Vancouver, ceux de Ron Collier, Pat Riccio et Don Thompson à Toronto, et ceux de Lee Gagnon et Vic Vogel à Montréal. Mark Miller, Cool Blues: Charlie Parker in Canada, 1953 (Toronto, 1989). ‡c chanteuse de jazz 100 1 _ ‡a Young, Karen ‡d 1951- 100 1 _ ‡a Young, Karen, ‡d 1951- En 2005, Darcy James Argue, natif de Vancouver, crée l’orchestre Secret Society à Brooklyn, New York, lequel s’inspire du mouvement « steampunk » et du trombone-arrangeur Bob Brookmeyer. Au cours des années 1980 et 1990, grâce à plusieurs facteurs y compris la présence grandissante de festivals de jazz au Canada et à l’élaboration de programmes académiques de musique jazz aux niveaux collégial et universitaire, un nombre croissant de musiciens fait son entrée au sein de cette communauté. Cette catégorie contient les 14 pages suivantes. Scrobble songs to get recommendations on tracks you'll love. Jusqu’en 1980, la maison de disques RCI possède la plus importante collection d’enregistrements de musique jazz canadienne, comprenant approximativement 500 albums dont 45 de musiciens jazz. # honeysucklerose # jazz # chanteuse. She has three sisters and one brother. D’autres Canadiens comme Ed Bickert, Sonny Greenwich, Claude Ranger, Fred Stone et Nelson Symonds, Barry Elmes, Al Henderson, Jean Derome, Brad Turner et Phil Nimmons établissent des traditions locales dans leurs villes d’origine respectives et leur influence sur les générations suivantes de musiciens canadiens rivalise celle des musiciens américains les plus respectés. Toutefois, ce n’est pas avant les années 1950 et la formation des orchestres de Calvin Jackson, Phil Nimmons et Graham Topping à Toronto, Steve Garrick et « Butch » Watanabe à Montréal, et Dave Robbins à Vancouver que la tradition des grands orchestres s’établit solidement dans la musique canadienne. En tant que premier chef d’orchestre à employer le trompettiste Don Cherry et le bassiste Charlie Haden pour se joindre à lui au Hillcrest Club de Los Angeles, Paul Bley joue un rôle prépondérant dans le lancement de la carrière d’Ornette Coleman. Le mouvement du troisième courant s’épanouit au Canada au même moment où il prend de l’ampleur ailleurs dans le monde, en grande partie grâce au travail de Norman Symonds, Ron Collier et d’autres étudiants de Gordon Delamont, qui utilisent tous la fugue, la sonate, le concerto grosso et d’autres formes musicales comme canevas d’improvisation pour les orchestres jazz. This page was last edited on 28 July 2020, at 02:04. Stanley Péan, Toute la Ville en Jazz (Montréal, 1999). Inversement, l’étiquette RCI, véritable pilier de l’enregistrement de la musique jazz au Canada pendant de longues années, met un terme à ses activités musicales en 1991 et consacre son dernier album de la série « Anthology of Canadian Music » (Anthologie de la musique canadienne) au jazz; les 51 pistes sont tirées des archives de sa propre étiquette, ainsi que de catalogues commerciaux. Les autres musiciens de free-jazz (ou d’improvisation libre) actifs à la même époque incluaient les pianistes Broomer, Jean Beaudet, Paul Plimley, Michael Snow, Ajay Heble et Casey Sokol; les saxophonistes Smith, Stach, Maury Coles, Paul Cram, Bruce Freedman (du groupe Chief Feature), Nobuo Kubota (du groupe CCMC), Robert Leriche, Graham Ord (des groupes Free F’All et Garbo’s Hat), John Oswald, Lori Freedman et Richard Underhill; le violiniste David Prentice; les guitaristes Eugene Chadbourne (un musicien américain actif entre 1973 à 1976 à Calgary, où il devint également critique musical pour le Calgary Herald), Lloyd Garber et Randy Hutton; les bassistes Lisle Ellis, George Koller, Clyde Reed et Claude Simard, et les percussionnistes Roger Baird, Richard Bannard, Larry Dubin, John Heward, Claude Ranger, Jesse Stewart et Gregg Simpson. Files are available under licenses specified on their description page. Parmi les musiciens du Canada ayant les compétences d’improvisation exigées d’un musicien solo en vogue, il y avait également le cornettiste Jimmy « Trump » Davidson, le joueur de trombone Seymour « Red » Ginzler et le saxophoniste Cliff McKay à Toronto, les saxophonistes Charlie See et Chick Inge à Vancouver, et le saxophoniste Adrien « Eddy » Paradis et plusieurs musiciens américains (par exemple les frères Johnson et Shorter) à Montréal. Les mieux connus d’entre eux, le pianiste Paul Bley et le trompettiste Kenny Wheeler, évoluent à un niveau international. ), suivie d’un raffinement sélectif des caractéristiques imitées et, finalement, de l’évolution vers un style personnel qui devient une forme d’expression. This lineup recorded the first four studio albums including their most commercially successful album, The Snow Goose, an entirely instrumental record … Mark Miller, Jazz in Canada: Fourteen Lives (Toronto, 1982). Paul Bley est un personnage important du mouvement « free-jazz » du début des années 1960; ses trios servent de modèles à plusieurs pianistes américains, européens et canadiens. Le free-jazz fait son apparition au Canada par le biais du Artists’ Jazz Band, formé à Toronto en 1962. Ron Paley compose et présente en primeur, avec son trio ou son grand orchestre, quatre œuvres avec l’orchestre symphonique de Winnipeg (1979 à 1987); Ian Sadler dirige le Jazz Repertory Orchestra de l’Alberta, dans le cadre d’un programme de compositions originales au Jazz City en 1982, et Tim Brady (compositeur jazz et de « new-music ») réalise Visions, enregistré avec la participation de Kenny Wheeler en 1985. James Hale, “‘Havana Jane’ Overcomes,” Downbeat (November 1997). Cette commandite permet aux festivals déployés dans des marchés plus restreints, comme à Ottawa et à Saskatoon, de profiter des mêmes artistes vedettes que les festivals de Vancouver, Toronto et Montréal. Bley devient ensuite un membre clé de l’influent trio du clarinettiste Jimmy Giuffre (accompagnés du bassiste Steve Swallow). Il y avait les émissions commanditées par la marque Timex diffusées à la télévision de la CBC au cours des années 1950, et plus tard les émissions spéciales de la CBC (y compris celles entièrement consacrées à Mingus et à Ellington), les émissions Oscar Peterson Presents diffusées par la CTV en 1974, l’émission distribuée sous licence Peter Appleyard Presents (de 1977 à 1980), ainsi que la diffusion de spectacles en direct du Festival international de jazz de Montréal au cours des années 1980. Ils se produisent dans des châteaux, clubs de jazz et salles de concert à Paris - comme Le Zèbre, Le Réservoir et L’Ermitage et jouent régulièrement pour des fêtes et des mariages dans des hôtels - au Crillon, au George V et à la … Le pianiste Oscar Peterson est reconnu massivement comme étant le plus grand pianiste jazz de tous les temps, et le plus influent de l’époque d’après-guerre. Skywalk et UZEB s’inspirent principalement du rock, Manteca des rythmes latins et africains, et les trois groupes incluent les sonorités des plus récents synthétiseurs. But there are still singers trying to emulate her magical voice. English progressive rock group formed in 1971 with an original lineup of Andrew Latimer (guitar, flute, vocals), Peter Bardens (keyboards, synths, vocals), Doug Ferguson (bass, vocals) and Andy Ward (2) (drums. Alors que les recettes des étiquettes traditionnelles continuent à diminuer en raison du téléchargement numérique, les étiquettes principales voient leurs listes de musiciens jazz raccourcir et un bon nombre de cadres de maisons de disques lancent leurs propres étiquettes de matériel exclusif.
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